Défouloir de 979 pages, d'un auteur en quête de masculinité, vocabulaire très riche, lexique prétentieux, répétitions pompeuses des termes 'mi figue mi raisin' 'du coup' 'derechef' 'd'un autre côté'.
Récit dans lequel l'ennemi est basané (j'ai trouvé ça trop facile)
Défouloir misogyne et homophobe
Défouloir de frustré
Don Benvenuto Gesufal, parfait anti-héros
Mon sens du second degrés, et mon intérêt pour la pratique des arts magiques m'a quand même permit de tout lire, même si j'ai pu me sentir blessé par des facilités typiques d'un auteur cis mec blanc, je ne le regrette pas et je ne veux pas comprendre l’engouement des gens pour cet ouvrage, non je ne veux pas comprendre.
L'auteur se félicite de son succès.