C'est difficile d'appréhender Gargantua sans les outils latins et grecs innombrables.
Cependant c'est un excellent exercice d'étymologie et on apprend qu'un cheval s'est guéri d'une vilaine tumeur en marchant sur les tripes humides d'un individu en surpoids.
C'est une information agréable, qui monte la note à 7.
Les trois points manquants c'est mon devoir de réserve face à des possibles moments de flottements dans la lecture, la faute à ma médiocrité globale.
PS : Merci au mec qui a fait la critique pour les nuls, ça m'a bien fait rire et c'était utile.