Dès le résumé, on s'attend à un récit plein d'action ainsi qu'à une morale juste et précise sur la perversité de la société de consommation. L'histoire d'amour ( il en faut bien une...) serait un prétexte pour défendre des valeurs sûres.
Ce que j'espérais s'est réalisé jusqu'au premier tiers du livre, et les descriptions du quotidien de Globalia sont assez amusantes.
Les pages se tournent en attendant des rebondissements, des descriptions de paysages variés, mais non, rien ne vient et l'on s'embarque dans des situations grotesques.
La chute de l'histoire tient a peu près bien la route, mais sans plus.