Finalement bien plus caustique qu'horrifique, L'affaire Mayerling est un roman désopilant à l'humour grinçant. Les nombreuses saynètes dont il est constitué, cocasses et inventives, offrent une vision récréative et très inspirée de la bétonisation du paysage, de l'absurdité des ensembles d'habitation et des logements collectifs. C'est une critique bien sentie de la vie en société et l'occasion, au passage, de multiplier les références littéraire - principalement à Perec et à Ballard.
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