C'est donc (oui faut suivre) sans grand espoir que l'entame le second tome. Et c'est toujours avec le même ressenti que s'enchaînent les premières nouvelles jusqu'à ce qu'elles commencent à se faire écho l'une l'autre et que l'ouvrage se termine sous la forme d'un roman que je n'ai pas vu venir alors que dans le même temps les personnages prenaient corps et substance.
J'imagine que par la suite la série s'éloigne des saynètes pour vraiment construire le décor qui est quasi inexistant dans les deux premiers recueils.
J'aurai du prendre quelques cafés de plus ...