Si loin, si prés
Ah, Natascha ! A 88 ans, elle est devenue folâtre. Un tel tournant, à cet âge de la vie, ce n'est pas très raisonnable. Et pourtant possiblement bien sympathique si Natascha n'était pas atteinte...
Par
le 14 déc. 2014
15 j'aime
3
Bouleversant et intriguant ce livre nous renvoie vers la perception que nous avons de nous même, des choses, de l'espace, des autres...
Livre de science autant que de philosophie, Sacks nous donne à voir l'âme humaine dans toute sa complexité et sa beauté. Récits de vies plein d'espoirs comme cruels parfois où l'on se rend compte que notre être/moi est bien fragile.
Bref, à lire et relire sans modération.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes , Les livres qui changent la vision du monde et Les livres que vous recommandez le plus à vos amis
Créée
le 15 oct. 2010
Critique lue 1.4K fois
17 j'aime
5 commentaires
D'autres avis sur L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau
Ah, Natascha ! A 88 ans, elle est devenue folâtre. Un tel tournant, à cet âge de la vie, ce n'est pas très raisonnable. Et pourtant possiblement bien sympathique si Natascha n'était pas atteinte...
Par
le 14 déc. 2014
15 j'aime
3
Un livre d'un très grand intérêt, écrit de façon à ce que même les gens qui ne sont pas attirés par le sujet soient passionnés dès les premières pages... A lire pour réaliser à quel point notre...
Par
le 21 mai 2011
9 j'aime
1
Drolatique et terrifiant, Sachs parcourt quelques portraits de patients en demeure de trouver un nouveau modus vivendi du fait des atteintes faites à leur système nerveux. Occasion pour ce médecin de...
Par
le 29 déc. 2010
7 j'aime
Du même critique
Comme il est triste de ne pas voir ici le talent de Brooks s'exprimer autant que dans World War Z, peut-être est-ce dû au format justement. Certes cette compilation de méthodes pour survivre à une...
Par
le 1 mars 2011
10 j'aime
2
Impossible de raconter ces chants. Succession de pensées, de plaidoiries, de scénettes. Une écriture assez complexe à appréhender. Mais Lautréamont peint avec talent les vices et les visages de...
Par
le 11 mars 2011
9 j'aime
2
Cruelle déception que celle de la lecture de Melmoth et pourtant j'étais pleine de bonne volonté, prête à lire et à être charmée par un classique du fantastique que Baudelaire s'est plu à réemployer...
Par
le 11 mars 2011
8 j'aime
2