Un des meilleurs de Zola, peu connu hélas, qui s'attaque à un milieu un peu particulier : celui des artistes. On a déjà ce Paris du XIX° dépeint avec une grande finesse, une grande précision. Un petit côté mythologique et romancé qui manque à Blazac, la patte d'un maître, du peintre génial du grand ventre de Paris. L'interêt historique est là, on y découvre le salon des Refusés, l'univers des artistes. Passionants. Abvec une historie d'amour, amour de la femme et amour de l'art, une histoire d'égoïsme, une histoire un peu narcissique, une histoire de jeunes gens pas vraiment adultes (ne pouvant donc s'occuper d'un enfant). L'un des enfants de Gervaise qui avait tout pour réussir, mais qui hélas subit lui aussi la fatalité des Rougon-Macquart...