Je n'ai pas aimé l'idée que La Belle est dépeinte comme une personne de valeur parce qu'en réalité elle est de noble naissance et pas grâce à son éducation, ni les raisons qui la poussent a céder à la Bête : "
On trouve ici la justification des mariages fréquents à cette époque, entre hommes mûrs, souvent veufs, et filles très jeunes. Il ne restait à ces maris âgés qu’à entourer leur jeune épouse de tous les égards, et aux jeunes femmes à respecter la situation mondaine et la valeur des quadragénaires."
Réf : Marie-Antoinette Reynaud, Madame Leprince de Beaumont, vie et œuvre d'une éducatrice (1971)
En somme, pas un comte que je lirais à un enfant aujourd'hui.