50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
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Alors que je furetais dans une librairie, je me suis attardé sur le rayon de la littérature italienne. Mon attrait pour la culture de ce pays est bien plus tourné vers le cinéma. Le dernier film qui m’a résolument marqué étant le film Il Buco de Michelangelo Frammartino, ce qui m’a amené vers de multiples réflexions et rencontres artistiques, comme avec Éléonore de Duve déjà évoquée ici. Dans ce rayon, je suis tombé sur un livre paru aux éditions La Barque, traduit par Uccio Esposito Torrigiani. Mon attention s’attarda également sur la postface de ce livre écrite par Giorgio Manganelli et traduite par Philippe Di Meo.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/11/23/la-divine-foret-giuseppe-bonaviri/
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le 23 nov. 2024
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