La Femme de Gilles par Reka
Ce roman m'a ennuyée.
Après avoir remarqué la répétition de certains vocables - j'ai notamment dénombré 13 déclinaisons des mots "doux" et "tendre" sur les 8 premières pages -, la lecture de ce récit s'est annoncée très laborieuse...
"Le désir*, ça naît comme ça, d'un rien. Gilles vit une petite gueule rouge qui s'ouvrait toutes les quelques secondes pour laisser passer une langue étroite que deux doigts caressaient doucement** d'un petit carré de papier. Hébété, il regardait ça, sans geste. Souvent en regardant Elisa il l'avait brusquement désirée*, mais c'était d'un désir* bien plus agréable et qui s'amplifiait tout doucement**." (p. 16)
Un livre doucereux qui n'est nullement parvenu à m'emporter ni à gagner mon intérêt.