Me voilà dans une toute nouvelle lecture avec La fille d’avant ! Bien impatiente de le lire, le résumé m’avait donné l’eau à la bouche.
Les premiers chapitre se lisent facilement bien que dès le départ je trouve qu’on passe d’un personnage à l’autre trop rapidement (2-3 pages à chaque fois).
Mais la catastrophe survient après une centaine de pages.
J’ai du mal à réaliser. Moi qui pensais lire un thriller angoissant, oppressant, peut-être dans la même veine que « Les Innocents » ou « Les apparences » je me retrouve dans une fanfiction de 50 shades !
Les deux héroïnes sont de véritables gamines, avec un pseudo « caractère » qui ne cache que de la naïveté et de la superficialité. L’architecte est en fait une pâle copie de Christian Grey.
La plume est d’une pauvreté sans nom, les réactions des héroïnes puériles et Edward est l’archétype du pervers narcissique mal déguisé.
Bref. Je ne l’ai pas terminé.
Impossible. Je me suis sentie trahie par le résumé qui me promettait une toute autre histoire.
A fuir si vous cherchez un vrai thriller.