Le site est en ligne, vous pouvez désormais revenir à vos activités habituelles. On vous remercie pour votre patience et votre soutien ! (Il est encore possible que le site rencontre quelques problèmes de performance)
Damasio, dans une grande fable sur l'importance des gens avec qui l'on choisit de traverser la vie, réussit du même coup le tour de force prodigieux de vous projeter entièrement dans un univers passionnant et riche d'aventures tout en tissant sa thèse principale sur l'importance des personnes qui font face ("Contre") chaque jour au funeste destin qui nous attend tous. La richesse du lexique et la précision de la grammaire (au sens propre) mis au service du conte m'ont pétrifié de stupeur bien des fois.
Et ce ne sont pas les petites errances ou sureffets de styles, qui entacheront la grandeur de ce livre qui se détache très nettement comme un de ces bouquins qui nous fait dire : "Oh tu ne l'as pas encore lu ? La chance..."
Créée
le 15 juil. 2024
Critique lue 4 fois
D'autres avis sur La Horde du contrevent
Enfin le contre s'achève. Sur une pirouette prévisible dès les premières pages, confirmée en cours de lecture, mais qu'importe. Le rugueux voyage du conte de La horde du Contrevent est une fin en soi...
Par
le 21 sept. 2011
257 j'aime
31
Se lancer dans la lecture d'un livre soutenu par un tel bouche à oreille positif relève de la gageure, quand comme moi, on est taraudé par un étrange a-priori négatif découlant du fait que tout le...
Par
le 8 déc. 2010
162 j'aime
23
# Ajen, lectrice Jusqu'au bout. Je n'ai guère de souvenirs de ma rencontre avec la 34ème horde. Tout était dévasté. Ou en passe de l'être. Oroshi m'expliqua par la suite que nous avions survécu au...
le 16 mai 2017
110 j'aime
13
Du même critique
L'intrigue est brillante, la narration fluide, et la plume de Balzac, qui semble toujours hésiter entre drame et comédie, est délectable.
le 22 août 2016
1 j'aime
Surement le plus alambiqué de Nietzsche, il mérite d'être lu en dernier parmi ses œuvres. Il perd plus qu'il n'éclaire.
le 28 avr. 2016
1 j'aime
Camus excelle dans l'art du récit cinglant, avec ce long monologue du "juge-pénitent", Camus livre un récit cinglant de l'ignorance volontaire, de l'oubli maîtrisé et du déni constant dans lequel la...
le 28 avr. 2016
1 j'aime
