Surement qu'Emile Zola s'est fait la même réflexion que moi : son dernier livre était étonnamment positif. Du coup derrière il enchaîne avec son slogan préféré : "la vie c'est de la merde, et les gens c'est pire". Ca commençait plutôt bien pourtant, un cadre inédit, limite un peu d'aventure. Et puis ça se répète énormément, on suit encore une fois la longue chute d'un cœur bon vs des profiteurs. Jusqu'au dénouement mélange de prévisible et d'un peu n'importe quoi. L'ennui.
Désolé pour cette critique ras du sol, mais je n'ai vraiment pas été emballé par cet épisode des Rougon-Macquart très "générique".