Livre accessoire dans l'Œuvre de Nietzche mais qui a quand même son utilité universelle.
Il explique un peu la puissance des arts du spectacle sur les psychologies des hommes, ainsi que leurs états mentaux et sentimentaux.
Il essaye tant bien que mal de parler de la part de divinité et celle de démonité en chacun par..... 2 dieux....
Comme si celui de la fête et de l'animalité était mauvais par son seul chaos, sa puissance brutale intérieure.... et que celui de l'architecture absolue, de l'ordre divin était forcément mauvais par son exigence : ca me fait penser à un beau plagiat, bien camouflé par son mythologisme grec, du religieux et du sentimental d'un certain Kierkegaard qui était d'une religion qu'il n'aimait pas trop.
La Reprise
Il avait peur de faire des choix car il savait très bien qu'il n'avait pas les possibilités intellectuelles de systématiser l'univers entier, alors il a dit que ce n'était pas possible (en ne prouvant rien donc pourquoi beaucoup l'ont écouté dés son premier livre) : le voila à dissocier la valeur de sa signification primale psychologique pour en faire un sentiment productif comme un autre.
Il suffisait d'une carte et tout le château s'est effondré.