Après avoir lu « lettre d’une inconnue » de Stefan Zweig et l’avoir adorée, j’ai décidé de m’intéresser d’avantages à cet auteur en lisant une autre de ces œuvres. À travers cette critique, on va venir parler du livre « la peur » qui est un livre qui m’a particulièrement bouleversé et ne m’a pas déçue sur l’idée que je m’étais faits à propos de son l’auteur.
Dans ce livre nous allons suivre l’histoire d’Irène qui est une femme faisant partie de la classe bourgeoise vivant avec son mari, ses deux enfants et ses servants. Cette femme va venir avoir une liaison avec un autre homme et sa peur de se faire surprendre ne cesse de grandir. Malheureusement pour elle, un beau jour, alors qu’elle sort de chez cet homme, elle va tomber sur une femme qui va venir l’agresser en prétendant être la femme de ce dernier. C’est alors qu’un véritable cauchemar commence pour Irene. En effet, cette femme va venir montrer une facette d’elle que l’on peut qualifier de « maître chanteuse » car elle va venir profiter du secret de cette femme afin d’acquérir ce qu’elle souhaite (passant de 100 pièces au départ à la bague de fiançailles). Irene va donc commencer à se perdre de plus en plus et l’idée de mettre fin à ses jours lui paraît comme la seule solution. C’est alors, que voyant son épouse sombrer de plus en plus, son mari (Fritz) va venir lui avoué qu’il a lui-même engagé cette femme afin de lui faire comprendre et c’est alors que tout son cauchemar prend fin.
Une des scènes qui m’a particulièrement marqué dans ce livre est le moment où après une dispute entre les enfants (cette dispute était liée à un joueur que leur fille avait volé et brûlé à son frère par jalousie), Irene va demander à son mari s’il ne regrette pas la punition qu’il vient d’infliger à ses enfants et que ce dernier répond que « la peur est pire que la punition. » Je trouve cette citation très intéressante car c’est une réelle leçon de morale, mais également parce que avec cette citation il a réussi à passer de l’histoire des enfants à la tromperie de sa femme.
J’ai trouvé ce livre particulièrement intéressant et bouleversant car il montre très bien tout ce qu'Irene ressent en elle mais également, j’ai fortement aimé la fin inattendue où l’on apprends que cette femme a finalement était engagé par son mari. Je trouve que ce livre porte très bien son (« la peur ») car à travers cette histoire, on suit bien la peur que ressent Irene face à la possible découverte de la vérité. Mais également, je trouve que c’est une véritable leçon de morale car on comprend qu’il vaut mieux être honnête directement que mentir et vivre dans la crainte. Je mets donc la note de 9/10 à ce livre car il m’a réellement passionnée et je pourrai très largement le conseiller à mes proches. Je ne suis donc pas dutout déçu d’avoir voulu continuer de m’intéresser à cet auteur.