Fin vingtième siècle voir défiler des bouts de la vie de gens insignifiants dans Star Loft Secret Brother ne m'intéresse pas. Et de fait, même si c'est plus classieux en roman classique qu'à la télé, pas plus avec des gens ayant vécu dans les quinze-cents.
Ceci dit, il faut reconnaître le mérite : même si c'était anonymement pour pouvoir survivre à sa parution, madame machin aura permit aux gens de basse extraction de lever le voile sur la partie supérieure de la société précédente et donc d'appréhender un peu mieux le fossé entre eux et les gens réellement importants de leur propre époque. Nous n'avons pas le même niveau de préoccupations au quotidien.
C'est d'ailleurs pour ça que les revues comme Gala et les sites internet consacrés aux stars du cinéma (et autres) fonctionnent encore de nos jours : voici ce que vous ne serez probablement jamais, fantasmez, crachez ou pleurez, peu importe tant que vous payez pour enrichir la machine et perpétuer le fossé.
On peut résumer le parcours de ces gens très importants comme on veut, reste que Gala et Loft Story seront peut-être les outils qu'utiliseront les chercheurs dans quatre cent ans pour comprendre notre société.
On va bien se marrer, du fond de nos tombes.