Faut vraiment arrêter avec ce bouquin.
Je l'ai pas fini, mais franchement presque, seulement on m'a raconter la fin, c'était plus drôle après ça. Mais bon, après une phrase présidentielle de (bon//mauvais) goût (je veux pas m'engager dans la politique) tout le petit monde universitaire est monté sur ses licornes pour défendre la pauvre madame de Lafayette. Et je dis:
STOP BLAGUES. Il est nul, il est nul, il est nul. On se fait chier de bout en bout. C'est le livre de chevet des scénaristes de Derrick. SPOILER ALERT: il se passe que dalle. Je dis pas qu'il faut mettre Emma Bovary chez l'oncle Bukowski mais bon quand même, poussez pas Claude Sarraute dans les orties.
Je t'aime, tu m'aimes, mais finalement on ne fera rien. Hands up quoi.
Le premier roman d'analyse. Oui merci bien, grâce à ça y'a plein d'autres livres cons comme la mort au programme maintenant. "Mais euh l'analyse du caractère des personnages c'est hyper important." Ben ouai, l'écrivain a une vie pourrie et rasoir, du coup il nous rase avec ses analyses d'émois fades et sans saveur.
"Non mais y'a un passage super sexuel trop lolilol avec la canne de M. de Nemours." C'est ça et Coriolan il se promène avec un gode à la ceinture. Merci m'sieur Lacan.
Lafayette, Lacan, Levy... Pas bon les noms en L.