La Prisonnière, publiée en novembre 1923, soit un an après la mort de Marcel Proust, est le premier des trois textes posthumes qui concluent À la recherche du temps perdu. Ce tome est axé sur le personnage d’Albertine, un personnage qui était absent des premier états du roman et qui finalement est celui qui est le plus souvent cité dans À la recherche du temps perdu. Et si on peut reprocher à ce volume d’être légèrement redondant, je l’ai personnellement adoré grâce à l’analyse pointue et sagace que Marcel Proust fait de l’amour et de la jalousie.
Critique complète : http://litteratureetculture.com/marcel-proust-la-prisonniere-critique.html