On ne sait toujours pas qui a fait le coup et pourtant on peut remercier commissaire Jaenada. A ceux qui désespèrent d'un début trop long, d'un contexte trop lourd et d'une histoire familiale trop lente, ne vous plaignez pas d'avoir raté un indice dans la résolution du mystère. Merci également pour les rires à chaque parenthèse. Jamais trop nombreuses, contrairement à ceux qui, encore une fois râlent un peu trop. Un petit rab aurait été parfait en fin de livre pour nous faire revivre le procès en détail, à la fois énigme et clé de ce fait divers horrible. En tout cas, bien joué Monsieur Jaenada : je doute comme vous désormais.