Je n'attendais pas de ce tome une clôture magistrale (je n'avais été furieusement emballée que par le premier tome, le deuxième était sympa mais je me souviens qu'à la fin j'avais dit "cette histoire de Dieu là je comprends rien") mais j'espérais au moins pouvoir saisir quelques bribes au dénouement de l'intrigue. Mais bof ! Depuis qu'Ophélie tutoie Thorn de toute façon tout sonne faux. Alors certes il y a quantité d'action et de rebondissements mais là où d'habitude Ophélie glissait des indices sur l'avancée de ses réflexions, là elle a toujours un coup d'avance et on la suit à l'aveugle dans ses pérégrinations de plus en plus abstraites au milieu d'un million de personnages (au début on suit pas mal Victoire, Gaëlle, Renard, Archibald mais après pouf, oubliés). On m'a perdue là, c'est trop compliqué pour moi. J'aimais bien le coup de échos mais alors tout ce fatras conceptuel... J'étais dans le wagonnet de la mine secouée dans tous les sens et à la fin, mal à la nuque et rien vu hihi
Bref, j'avoue avoir lu très vite ce dernier morceau pour en avoir fini. C'est peut-être une paresse de ma part mais le sort des personnages ne m'intéressait plus beaucoup, alors tant pis, ne nous forçons pas.
Sans moi, désolée !