Attention spoil.
N'ayant pas beaucoup de références littéraires notamment en dark fantasy bien qu'amateur du genre, je ne pourrai pas vraiment apporter grand chose en plus que le reste des critiques précédentes. Mais vraiment j'essaye d'être objectif donc allons-y...
Je l'ai lu assez facilement pour ma part, le "changement de deuxième partie" (if you know what I mean...) opérant comme il faut, et l'histoire des Deux principaux héros se suivant bien pour ma part malgré les personnages secondaires hyper en retrait ce qui impact l'affect, leurs développement et les relations inter-perso, du coup (genre Viola, Esyld et le Duc de Page avec Grenouille ce que je trouve dommage).
<<< FIN DU TEASING >>>
Mais ce fameux hic, qui doit être un truc sur lequel on peut fermer les yeux mais qui me gène, et devrez vous aussi je pense,c'est dès les premières pages : Les descriptions des femmes.
Alors... l'érotisme ou les descriptions plaisirs des yeux d'autant plus que c'est souvent à travers les yeux de Dun et Grenouille donc fantasmer ou se poser 2 minutes sur les femmes ok pourquoi pas, y'a une logique acceptable, je dis oui.
Mais quand les mecs se tapent deux pauvres descriptions d'habits simples et ces demoiselles des bornes de mélioratifs sur la coiffure, la robe, le visage et le parfum... j'ai pas pu m’empêcher tout le long du bouquin d'être là genre "Oui bon ok, c'était obligé obligé, de toute manière osef un peu allez on continue..."
Donc encore une fois c'est minime, souvent c'est logique parce qu'amené par nos 2 héros qui se laissent porter par leurs sentiments (à chaque fois je crois, j'ai un doute en fait) d'autant plus qu'ils sont pas parfaits, mais pas méchants non-plus niveau psycho. Ce qui fait leurs force je trouve, des fois on est pas d'accord, d'autres fois ça va, des humains imparfaits dans le bon sens en somme. Qui luttent pour ce qu'il pensent justes et/ou légitime. Mais voilà il fallait m'exprimer sur ce hic qui perso à été mon grain de sable du 7/10 au 8. Du reste, réfléchissez-y par vous-même et ne soyez pas des moutons influençables.
Des bisous.