si j’aurais voté 1 ou 0 à la fin.
Tout au long de la lecture du roman, mon point de vue à oscillé entre pour et contre la Volte. C’est vrai, de quoi se plaignent-ils après tout ? Enfants gâtés dans un monde en paix : surabondance de biens, choix, opulence, divertissement, etc. Mais en même temps ont voit bien que quelque chose ne va pas, ghettos, apathie, délation ...
Peut-on interdire de rêver si c’est pour le bien commun ?
À l’inverse, peut-on forcer les gens à être libres ?
L’Homme ne sera jamais satisfait de ce qu’il possède.
Oui, ce roman interroge, questionnent, sur notre société actuelle, comme toutes les dystopies. Et à la fin, je ne sais toujours pas comment me positionner.
Sont-ils des terroristes ? Ou un contre pouvoir salutaire ? Entre culte de la personnalité et martyr... Damasio, parviens à nous montrer la complexité des Hommes, les multiples facettes du pouvoir et de son opposition.
Ce roman m’aura plus fait réfléchir et m’interroger que 1984. À la fin, on ne sait toujours pas comment se positionner. La solution ne nous est pas livrée.
Les protagonistes sont réellement très bien écrits, avec beaucoup de finesse et de justesse, ils restent insaisissables jusqu’à la fin, subtiles, changeant.