On quittait le kid pleins d'amûûûûr pour Beth dans le T.2. Personnellement ça me chagrinait. Quoi ? Cette brute aurait donc un coeur ? Et en mon for intérieur je priais pour que les prochains romans ne tombent pas dans le pathos cucul.
On a évité l'écueil, l'écrivain enchainant une pirouette et un double axel pointé, en faisant un épisode flash-back ou notre tueur bourbonesque passe au second plan, au profit d'autres personnages.
C'est l'occasion pour l'auteur de ranimer les cadavres du tome précédents, pour nous en apprendre plus sur Elvis et Rodeo Rex -#badass- qui n'avait pas put s'exprimer à leur juste mesure précédemment.
Et la fin du livre, la fin ! Ahlalala. Je ne sais pas si ce romancier est un génie ou s'il se fout de nous, mais en tout cas c'est inattendu.
On commence à sentir aussi, les plans sur le long terme de l'écrivain. Tous les éléments se mettent en place, se recoupent et s'imbriquent. Du sang, des zombis, du sang, des meurtres à mains nus, du sang, du rock'n roll baby. C'est jouissif et bien écrit.