La maladie fait son chemin au fil de la première partie du livre. Les protagonistes portent sur leurs épaules la mort de leurs connaissances, ce qui les impactent différemment. Quand l'un se retrouve dans un centre de recherche, l'autre enterre son parent ou aide comme il peut dans le secrétariat du sheriff.
Les phrases sont dosées justes, ainsi lors de la lecture, il est facile de se mettre dans l'état émotionnel des personnages. Le choix de certains mots - qui malheureusement à l'heure actuelle ne seraient pas acceptés - est judicieux afin de se rendre compte à quel point, en 1902, certaines catégories de personnes sont mal vues.
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