H2 piouuu brrrrouuuu G2 piouuu brouuu torpilleur touché oh yeah!
A livre loufoque, titre loufoque (bien fait pour toi Adams!). Bon par contre pour la critique, j'aimerais bien, mais je ne sais pas faire, désolée.
J'avais adoré le film (ou au moins le début parce qu'après je n'ai pas tout compris, en tout cas je ne m'en souviens pas très bien), l'introduction qui raconte comment les dauphins se sont bien foutus de nous et nous remercient pour le poisson m'a littéralement fait fondre.
Je connais quelques geeks, enfin suffisamment pour connaître l'importance du 42 dans la vie de tous les jours (si bien que j'en viens à regretter de ne pas mesurer 1.42m, donc je me rattrape en tentant d'atteindre la pointure 42 ou la taille 42, mais a priori ça ne compte pas pour augmenter son taux de geekitude)
j'ai lu - et apprécié - quelques Pratchett , j'aime les univers décalés en général, enfin bref je réunissais tous les éléments pour être la parfaite cible du livre H2G2.
C'était oublier un peu vite qu'à trop en attendre on risque d'être déçu:
j'ai bien aimé le livre,mais j'ai eu plus de mal à me plonger dedans que prévu. Le début où l'on suit Arthur Dent lors de son dernier réveil sur Terre est exquis, mais ensuite j'ai fait un mini blocage, je n'arrivais pas à suivre où on allait (et pour cause ça part dans tous les sens)
Le premier tome m'a donc semblé plein de promesses et en même temps trop absurde pour moi.
Ca fait mal de reconnaitre qu'on est trop terre à terre pour participer aux délires de l'auteur, surtout qu'ils ont l'air bons ses délires, j'aimerais vraiment être dans sa tête parfois! Et puis en plus il n'y a aucune place pour le terre à terre dans cette saga puisqu'il n'y a pas de place pour la Terre tout court. (en parlant de ça,le coup de la déviation et de la lourdeur administrative m'a bien plu quand même!)
Ca reste bon, ça a le mérite d'être inédit, c'est truffé de vraies bonnes trouvailles, mais on est loin de la claque que je pensais prendre (et vu la vitesse d'escargot à laquelle j'avance ça me ferait mal de prendre une claque aussi longue).
la faute à une écriture trop fouillie, j'ai été perdue dans l'espace.