Je ne sais comment décrire ce que je ressens à la fermeture de ce livre. Je crois que l'adjectif "subjugué" et celui qui me convient le mieux.
L'écriture de Zweig est d'une incroyable fluidité, presque factuelle tant il ne s'encombre jamais de périphrases, adjectifs redondants, descriptifs inutiles et autre vocabulaire ronflant derrière lequel tant d'auteurs abritent une écriture quelconque.
Je précise également que je ne connais rien aux échecs et m'en désintéresse totalement. Malgré ça, cette nouvelle m'a englouti totalement.