Je suis ce dont on se sert pour s’essuyer le derrière après être allé à la selle, je suis, je suis ?

Le Maître et Marguerite, synonyme de torche-cul.
Conseillé, offert, ouvert, refermé, réouvert, refermé, réouvert, refermé, oublié... jusqu'à aujourd'hui.
Le ni queue ni tête n'est certes qu'apparent puisque cette chose, appelée roman par certains, contient un semblant de structure, mais à ce stade prendre du LSD m’apparaît plus efficace et moins ennuyant.
Encensé par les geeks-littéraires dont je ne connais pas le diminutif (le ???? est à la littérature ce que l'otaku est au manga), il s'agit pour ma part typiquement du genre de livre qui finit chez Emmaüs, ou que je refile en cadeau aux personnes que je n'aime pas mais qui persistent malgré tout à m'inviter à leur anniversaire, auquel je me rend tout de même car j'aime la boisson.
Merci, grâce à vous je vais me faire un carton pour Emmaüs, genre ménage de printemps.
Bisous.
Callahan
1
Écrit par

Créée

le 31 juil. 2012

Modifiée

le 31 juil. 2012

Critique lue 1.3K fois

5 j'aime

6 commentaires

Callahan

Écrit par

Critique lue 1.3K fois

5
6

D'autres avis sur Le Maître et Marguerite

Le Maître et Marguerite
SanFelice
9

Il faut imaginer Ponce Pilate heureux

L'un des lieux les plus importants du roman Le Maître et Marguerite, c'est l’hôpital psychiatrique du docteur Stravinsky. De nombreux personnages, principaux ou secondaires, vont y passer un moment...

le 6 mars 2018

52 j'aime

9

Le Maître et Marguerite
MrShuffle
10

Le diable et le bon dieu

Un roman génial sur tous les points, d'une précision maladive, allant jusqu'à nommer parfaitement les chapitres. Rares sont les occasions de dire cela mais Boulgakov maitrise à un point que nul ne...

le 23 mars 2012

52 j'aime

8

Le Maître et Marguerite
Diothyme
9

Critique de Le Maître et Marguerite par Diothyme

Tout commence à Moscou, deux hommes discutent, le premier se nomme MikhaÏl Alexandrovitch Berlioz, le rédacteur en chef d'une revue littéraire connue sous le nom de Massolit, le second est un jeune...

le 26 mars 2011

35 j'aime

7

Du même critique

Le Maître et Marguerite
Callahan
1

Je suis ce dont on se sert pour s’essuyer le derrière après être allé à la selle, je suis, je suis ?

Le Maître et Marguerite, synonyme de torche-cul. Conseillé, offert, ouvert, refermé, réouvert, refermé, réouvert, refermé, oublié... jusqu'à aujourd'hui. Le ni queue ni tête n'est certes qu'apparent...

le 31 juil. 2012

5 j'aime

6

L'Histoire de Nintendo, volume 1
Callahan
1

Critique de L'Histoire de Nintendo, volume 1 par Callahan

Je mets 1, juste parce que j'estime que cette chose n'a rien n'a faire dans ce classement. C'est un point de vue personnel, cela va de soi.

le 2 août 2012

3 j'aime

5

Shining
Callahan
9

Critique de Shining par Callahan

Ca fout la frousse, ça étouffe comme le couscous, c'est la grosse secousse dans la brousse.

le 6 août 2012

2 j'aime

1