J’ai beaucoup apprécié ce livre, la description de la vie à Londres avec les évolutions/révolutions appliquées : vis à vis de la santé, la religion, le bonheur, la mort... la vie d’un individu en général, qui d’ailleurs n’est plus considéré comme tel. Il s’agit plutôt de la vie du collectif.
Mais également le contraste de la vie des sauvages, avec leurs rites et cultures, religion avec Dieu et les autres religions païennes. Ils sont confrontés à tous les dangers inexistants à Londres comme les maladies par exemple. Mais on peut l’interpréter comme une forme de liberté, l’existence du mariage, de l’amour, de la fertilité ect.. choses abolies à Londres.
On peut l’interpréter comme une réelle liberté au final.
Cette possibilité d’être maître de ses émotions, sa condition, sa vie en général.
Le personnage de John démontre la complexité de ces deux visions là, qui, à mon sens sont trop exagérées : il doit faire le choix entre le mieux et le pire. C’est un peu drastique comme choix. Il aurait peut être fallu une troisième solution un petit peu plus modéré pour s’en sortir... ?