Une fois n'est pas coutume, ce billet ne sera pas pas une critique, à peine un avis, il me permettra seulement de garder en mémoire mes deux essais de lecture à quelques semaines d'intervalle, tous deux conclus par un échec cuisant.
Sélectionné par le club de lecture de mars 2016, en hommage à son auteur décédé, "Le nom de la rose" d'Umberto Eco trônait dans ma PAL depuis de longues années et j'avais donc saisi cette opportunité pour m'y confronter enfin.
Hélas, première tentative vaine, abandon au bout d'une centaine de pages, littéralement assommée par les nombreux passages en latin non traduits.
Et puis, deux mois plus tard, je recommence ma lecture à la page 1, me disant que je ne m'étais pas rendue assez disponible pour une lecture, certes ardue mais étiquetée "brillante", ou encore "incontournable".
Hélas, nouvel échec, nouvel abandon qui m'encourage à faire mentir l'adage prophétisant "Jamais deux sans trois" car je pense sincèrement ne plus y revenir et rester sur mon excellent souvenir de l'adaptation de Jean-Jacques Annaud.