Le Père de nos pères par J. Z. D.
Ce livre est une merde, peut être parce que j'ai lu trop de Werber à c'moment là et que j'étais en pleine overdose, mais non, soyons francs, crachons sur ce livre !
Petit un, un scénario faible comme tout.
Et ouais, il n'y a rien dedans, rien à ajouter ? On retrouve (ou on découvre, j'ai perdu l'ordre) la fille débile et l'obèse débile et on suit en même temps l'histoire d'une bête.
Petit deux, une chute de merde. [Sur nos gueules.]
Le final est grandiose magique de n'importe quoi. Werber était déjà fini, les histoires sympas avec des petites fourmis - un peu débiles elles aussi, mais bon - c'était loin. La fin est catastrophique, et je peux pas décement la raconter, mais elle m'arrache la gueule.
Petit trois, errata. Désolé pour mon camarade de la critique positive mais tu t'es fait avoir, c'est pas vrai, ni plausible. Scientifiquement, depuis longtemps, Bebert il se fout de ta gueule.
Conclusion.
AHAHAHAHAHAHA !
A brûler.