Première observation : l’objet, noir et brillant, est beau, ce qui est assez rare dans l’édition française pour être souligné. Ça donne donc envie de se plonger dans ce récit horrifique, très efficace lorsqu’il assume son aspect fantastique et qu’il crée le mystère, beaucoup moins lorsqu’il l’évente lors de passages explicatifs parfois grotesques. On pourra aussi regretter le sort parfois expéditif réservé à certains personnages lors du climax. Maxime Chattam cite Lovecraft et Stephen King mais n’en atteint pas encore le niveau.