Mes angoisses du lycée réunies en 300 pages
L'idée était bonne pourtant. Réconcilier la littérature et les mathématiques, au travers des deux protagonistes, l'un bibliothécaire, l'autre mathématicien. Vulgariser les mathématiques, pour que les férus de lettres, comme moi, s'y intéressent... Peine perdue.
Les cents premières pages s'avalent, portés par un vocabulaire nouveau ! Les mauvais souvenirs qu'évoquent Thalès se dissipent, pour laisser place a son incroyable histoire et ses découvertes, intimement liés à une réflexion pourtant philosophique.
Jusque là tous va bien.
Puis ça se corse et très vite, les angoissent du lycée resurgissent. On n'y comprends plus rien.
Les concepts mathématiques se complexifient au détriment de l'intrigue, pourtant intéressante.
J'ai beau me forcer, je n'y arrive plus. Les racines carrées ont remportées le combat face à l'éloquence.
Paris perdu.
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