Le Théorème du perroquet par Kliban
On n'en finit pas, depuis le mol "monde de Sophie" avec les tentatives de vulgarisation enrobées de roman. Si celui-ci tire mieux son épingle du jeu diégétique que son vénérable et ennuyeux ancêtre, pour autant, on s'y ennuie mollement, on n'y apprend pas grand chose, et l'on se passerait, somme toute, de tribulations plus accordées à la Bibliothèque Verte - et donc à une certaine classe d'âge - qu'à un roman pour Adultes Rances à Peau Flasque. Je n'en ai rien retenu, sinon qu'il m'était assez indifférent que ce machin ait été publié. Il a disparu de mon champ un beau matin, avec une des nombreuses livraisons que je réserve à Gibert. Dont Acte.