Au moment où j'écris cette critique, j'ai lu le livre il y a un peu plus de deux ans, et ce fut mon troisième livre de la tétralogie de l'apocalypse. Il ne m'en reste plus trop-trop de choses, et le livre m'a semblé moins total que 'Tous à Zanzibar' qui reste mon préféré pour l'instant (je n'ai pas lu le quatrième encore sur les média et réseaux).
Il m'en reste tout de même le souvenir d'une certaine clairvoyance sur les problèmes écologiques auquel nous sommes de plus en plus confronté à l'heure actuelle. La vision de l'auteur à un certain recul sur l'activisme écologique de base et la réticence au progrès comme le montre l’échec des camps peuplé de ce qu'on appellerait maintenant des "décroissants".