Le quatrième de couverture me suffira !
J'ai eu l'honneur de devoir le lire pour les cours, et je m'attendais à bien mieux. Dès les premières lignes j'ai senti la barrière du langage : la traduction m'est sorti par les trous de nez. En plus d'un style cynique assez pompeux et que l'on trouve vite désagréable, l'histoire consiste en deux mots : bien contre mal. Exactement ce que je déteste, les histoires manichéennes, enfin l'histoire en elle même n'est pas manichéenne, mais de traiter philosophiquement ces deux concepts j'ai trouvé ça mais d'une lourdeur ! Alors le mauvais chevalier il est atroce, il fait peur, il sème la mort sur son passage, bouhhhh tout le monde a très peur de lui. Mais heureusement qu'il y a la seconde moitié qui arrive, et qui forme un équilibre car dans la vie le mal absolue n'est pas bon, mais le bien absolu non plus. L'humain est composé de bien et de mal. Non, sans déconner ? Franchement, je n'ai adhéré ni au style, ni au propos. Heureusement que l'univers était assez dense. Les huguenots et le village de lépreux m'ont fait sourire, mais ce sont les seuls points positifs que je retiens de ce bouquin que je n'ai plus envi de rouvrir. Je comprend qu'à moitié, Italo Calvino est pourtant un auteur apprécié, m'enfin, tous les goûts sont dans la nature n'est ce pas ?