Il faut une sacrée force mentale pour terminer ce bouquin qui ne devient bien vite qu'un catalogue de tortures abominables. En même temps, l'épure des parties non terminées confine à l'absurde, on a l'impression qu'un cerveau malade a couché sur papier ses pires fantasmes dans l'esprit d'une recette de cuisine.
La première partie est évidemment plus intéressante même si plus indigente que La Philosophie dans le Boudoir. Bravo en tout cas pour avoir réussi à me donner envie de vomir avec un paragraphe absolument immonde vers la fin.