« Ce genre d’intrigues [les amours impossibles] était dans l’air à l’époque romantique […]. Il avait certainement des côtés homosexuels, mais il était surtout un peu asexué ce brave Andersen et n’avait jamais touché ni homme, ni femme « . Citation de François Flahault, Fictions et spéculation sur les contes de tradition orale et les contes d'Andersen, 1985. Flahaut fait ici référence au conte « la petite sirène » d’Andersen (1837).
Là est peut-être le départ du roman-ci, de cette auteur-e non binaire, Rivers Solomon. Les sirènes étant femme et homme tout à la fois, et choisisse un sexe de leur choix pendant un accouplement (qui pourra être un choix différent lors d’un autre accouplement).
Les sirènes sont apatrides, sinon elle ont comme Océans leur demeure, soit pratiquement le monde entier. Bien des parallèles à faire avec les origines afro-américaines de l’écrivain-e.
Une oeuvre rafraîchissante telle l’océan…