Je m'excuse de cet honteux jeux de mots.
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Aujourd'hui, je place plus haut le "Le Crépuscule de Shigezo", et ayant eu un immense coup de Coeur pour "Le Dernier Quartier de lune" de Zi Jian Chi (dans un thème proche), je dois rendre hommage au dame de kimoto, livre complexe et d'une richesse discrète.
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Discrète, ce n'est pas une autrice qui lance tout les effets au début, qui joue de grands parallèles, mais chaque partie, chaque chapitre chaque scène joue quelque chose d'unique, de fin, sur la toile passionnante du japon du début du 20e siècle.
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C'est une autrice qui joue aussi de la balance des choses, elle aime prendre les choses par plein de petit bout : Ici on suit des femmes, sur trois générations. C'est ce que l'on crois, non. Non. On suit la matriarche. Mais part moment on ne croit que le regard à bouger : elle à une façon de saisir les choses toujours par un autre bout...
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On pense a un moment suivre la seconde dans sa solitude, dans un isolement, et on en apprends sur la première - on découvre qu'elle écrit, chose que le lecteur lui même ignorait completement d'elle.
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C'est toujours un jeu fin, doublé de rapport sociaux complexe, rien n'est jamais juste le jeu directe, tout est dans quelque chose qui dépend des autres, c'est vraiment une belle annalyse social dans ce que cela engage de plus humain.
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Il y a longtemps que je l'ai lus, tout ne me reviens pas en mémoire, mais je ne peux qu'encourager a lire, ça peu être un peu plombant par moment, surtout le nombre d'enterement, mais c'est un roman qui donne beaucoup sans que l'on ne s'en rend compte.