Les Fleurs du mal par Nawel
Je sens déjà venir les huées de tous ces adorateurs terriblement agaçants de Baudelaire. Oui, je vais le critiquer négativement. Mais pas trop, tout de même, il reste un auteur maniant la poésie à merveille malgré son incapacité à arriver à la cheville de Victor Hugo.
Comment dire ? Lire de la poésie m'a toujours ennuyée au plus au point. C'est comme s'il n'y avait pas de vie dans ces recueils. Bien sûr, tout est relatif comme la beauté de la poésie de notre cher ami Baudelaire. Enfin c'est quoi cette tristesse ambiante ? Cette banalité à pleurer quand on remarque le classicisme imprégné partout (sonnets/alexandrins = aucune ORIGINALITÉ bon dieu !) ?
Oh et puis, quasiment tout me semble à jeter à commencer par le titre. C'est tout de même la première chose qu'on lit sur n'importe quel livre ! Vous n'allez tout de même pas me dire que cela vous a accroché !? Je suis prête à parier que vous l'avez tous lu uniquement parce qu'il s'agit de Mr. L'intouchable-poète-merveilleux-Charles-Baudelaire.