On annonçait un récit « sidérant de maîtrise, précisant les contours d’un univers romanesque singulier, à la fois barré et totalement familier, dans un entre-deux à l’équilibre miraculeux… » (https://diacritik.com/2019/04/15/catherine-lacey-les-sentiments-sont-une-sorte-denergie-de-matiere-les-reponses/) J’ai traduit : un bouquin sinon loufoque, du moins complètement déjanté (j’adore !), en tous cas, de quoi ne pas s’ennuyer ! Et bien, c’est raté (ou bien c’est le « totalement familier » qui fiche tout par terre), ça se traine lamentablement, ce n’est même pas drôle ou alors au énième degré, hors de ma portée.
Je m’y suis ennuyé à mourir… Mais comme, avant de mourir, j’ai eu envie de lire d’autres livres (il y en a tant !), j’ai refermé celui-ci aux environs de la cent cinquantième page (ma liseuse ne me donne que des pourcentages) et suis passé à autre chose ! Sans regret.