Les Résidents par RalphMachmot
Moi aussi mon unique frisson dantequien, et il fut intense, remonte aux Racines du Mal, soit une éternité (si on adopte une approche linéaire du Temps, mais fichez-moi la paix, j'ai mal à la tête).
Dantec, donc, nous embarque dans une épopée barrée qui se tient très bien sur les 2 premiers tiers (mais vraiment très bien, on se prend même à espérer le Grand Oeuvre) et se barre en sucette par la suite. Sucette aux champignons. Sucette à l'acide. En tout cas je n'ai plus compris grand chose et n'ai pas été emporté. Passage en mode lecture rapide et au final, déception.