Les Travailleurs de la mer par amaranth
Avec Gilliatt, le solitaire amoureux de Déruchette, qui risque sa vie pour récupérer une machine à vapeur, coincée dans la tempête, nous voici plongés dans une lutte terrible avec l'océan. Le calme avant la tempête est décrit d'une manière tout à fait angoissante, on se croirait dans un thriller ! Le vocabulaire, extrêmement riche, nous fait découvrir un univers marin bien loin des cartes postales...
Le personnage de Déruchette me rappelle celui de Cosette : une fois amoureuse, plus rien n'existe que l'être aimé. Elle est d'un égoïsme monstrueux ! Résultat de son éducation, qui faisait que tout tournait autour d'elle ?
Encore bravo Monsieur Hugo pour ce magnifique roman.