To oblivion
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Une écriture introspective résolument moderne. Les métaphores tendres fusent par jets lapidaires, le point de vue interne nous renvoie à notre propre asservissement à l'autre et son affection.
Un roman qui mérite à être plus connu. Se lit dans le métro parisien.
Créée
le 14 nov. 2016
Critique lue 247 fois
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