J’ai lu Penthésilée et ce fut un tumulte réjouissant à découvrir. Pourtant, rien ne laissait penser que j’aurais apprécié cette lecture. Le seul lien qui me rattache avec cette pièce d’un lyrisme outrancier, c’est Julien Gracq qui avec cette traduction s’essaye à une autre pratique littéraire. On s’imagine mal ce qu’il peut y avoir de commun entre l’œuvre de Julien Gracq et Heinrich von Kleist, tant le chaos que déploie cette pièce ne s’accommode pas avec l’austérité gracquienne. Mais c’est sûrement en tant que lecteur que Gracq a traduit Penthésilée.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/12/28/penthesilee-heinrich-von-kleist/