Ce roman, qui a valu un prix Nobel à son auteur, est sans doute l'un des textes les plus mièvres et inintéressants que j'aie jamais lus.
Certes, j'ai une dent contre le pré carré français qui tourne en rond, avec ses pseudo-intellectuels qui s'autocongratulent en boucle. J'ai longuement épilogué sur les Goncourt sans saveur, ou qui se plient à des modes aussi peu gratifiantes que la lecture d'un article de fond dans la presse pour salle d'attente de centre médical. La bêtise est donc contagieuse... à moins que le jury du Nobel de littérature ne soit le même que ceux des Médicis, Renaudot, Femina, Goncourt des grandes personnes ou des lycéens, lectrices de Elle ?
Oui, je sais, j'ai tort de dissocier les cosmétiques des histoires écrites avec des mots. Passez-moi la pommade, que j'apprenne à me servir d'un tube !