Une belle histoire.
L'auteur alterne les points de vue des deux héroïnes qui sont indiqués (je ne m'en suis rendue compte qu'aux 3/4 du livre) par un dessin en début de chapitre : un fossile de poisson pour Elizabeth Philpot et un nautile pour Mary Anning.
Des deux, c'est Elizabeth que j'ai préféré, j'ai trouve son histoire plus touchante. Mary m'apparaissait un peu trop cruche par moment.
J'ai été un peu dérangée par les nombreuses ellipses qui ne sont pas non plus clairement indiquées. il se passe plus d'une année parfois sans que cela ne soit mentionné.
La condition féminine de l'époque est très bien dépeinte par l'auteure. C'est un point intéressant à découvrir.
J'ai beaucoup, beaucoup apprécié les réflexions autour de la confrontation des théories evolutionistes et de l'Eglise : les espèces disparus sont inconcevables parce que'on ne peu par imaginer que Dieu ait créer des créatures pour ensuite les faire disparaître.