Trois âmes tristes
Deux femmes et un homme, dans la France de 1943, celle qui n'a ni légalisé l'avortement ni supprimé la peine de mort. Une France occupée de surcroît, "détail" qui ne sera évoqué que par petites...
Par
le 17 mai 2024
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 5 janv. 2011
Critique lue 150 fois
D'autres avis sur Qui touche à mon corps je le tue
Deux femmes et un homme, dans la France de 1943, celle qui n'a ni légalisé l'avortement ni supprimé la peine de mort. Une France occupée de surcroît, "détail" qui ne sera évoqué que par petites...
Par
le 17 mai 2024
Valentine Goby je pense que si elle me parlait un jour je lui offrirai un chocolat chaud pour qu'elle me raconte ses histoires qui sont bizarres. Ce serait dans un café sans beaucoup de lumière, et...
Par
le 3 juin 2020
Ce roman m'a coupé le souffle. Le style y prévaut clairement par rapport au contenu, mais il a fait naître en moi une empathie qui ne se serait sans doute pas éveillée ou révélée comme telle si le...
Par
le 5 janv. 2011
Du même critique
Précepte premier : ne pas lire la quatrième de couverture(*) de ce fichu bouquin. (*) « François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m'en vais. C'est la boisson la moins conviviale...
Par
le 19 mars 2011
28 j'aime
3
Eva Khatchadourian entreprend d'écrire à son ex-mari, Franklin, pour réévoquer le cas de leur fils, Kevin. A seize ans, celui-ci a écopé de sept années de prison ferme en assassinant et blessant...
Par
le 7 janv. 2011
24 j'aime
2
Le tempérament contestataire et farouche de Jean Atwood m'a particulièrement amusée et a par conséquent contribué à une immersion rapide et facile au sein de l'ouvrage. Le roman de Martin Winckler...
Par
le 29 mai 2012
20 j'aime