L'actualité sur SchrummSchrumm
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1966 • livre de Fernand Combet
Résumé : Publié il y a quarante ans par Jean-Jacques Pauvert, SchrummSchrumm, premier roman de Fernand Combet, fut, dès sa parution, salué comme un livre important. En témoignent quelques extraits de la critique en 1966 : «Combet a écrit un beau livre tranquillement féroce, où l'air devient irrespirable. Un livre important, aussi, dont on n'a pas fini d'épuiser les significations, les mines.» André Hardellet. «Fernand Combet s'inscrit dans la lignée où se comptent quelques-uns des écrivains les plus originaux de notre époque. Il fait songer à Kafka et à ses personnages prisonniers d'un système auquel on ne peut échapper.» Kléber Haedens, Candide. «Le tort de SchrummSchrumm, c'est de n'avoir pas abdiqué toute pensée. Dans un monde mécanique et magique, il a conservé un esprit logique : c'est un damné, dont Combet vient de décrire l'enfer.» Bernard Gros, À livre ouvert. «Le monde n'est qu'un malentendu entre la nécessité et la liberté, la logique et l'absurde, la mort et la vie. En sortant du monde, est ce qu'on peut trouver le bonheur, la paix ? Est-ce qu'on ne sombrera pas, en parvenant aux derniers rivages, au néant ?» Philippe Senart, Combat. «Fernand Combet dépasse, transgresse tous les modes d'écriture symbolique.» Georges Anex, Journal de Genève. «Issu d'une imagination que certains jugeront sans nul doute délirante, SchrummSchrumm paraîtra peut-être à quelques-uns extrêmement irritant. Pour nous, il s'agit du roman le plus original qu'il nous ait été donné de lire depuis longtemps.» Annette Colin-Simard, Le journal du dimanche.
1966 • livre de Fernand Combet
Résumé : Publié il y a quarante ans par Jean-Jacques Pauvert, SchrummSchrumm, premier roman de Fernand Combet, fut, dès sa parution, salué comme un livre important. En témoignent quelques extraits de la critique en 1966 : «Combet a écrit un beau livre tranquillement féroce, où l'air devient irrespirable. Un livre important, aussi, dont on n'a pas fini d'épuiser les significations, les mines.» André Hardellet. «Fernand Combet s'inscrit dans la lignée où se comptent quelques-uns des écrivains les plus originaux de notre époque. Il fait songer à Kafka et à ses personnages prisonniers d'un système auquel on ne peut échapper.» Kléber Haedens, Candide. «Le tort de SchrummSchrumm, c'est de n'avoir pas abdiqué toute pensée. Dans un monde mécanique et magique, il a conservé un esprit logique : c'est un damné, dont Combet vient de décrire l'enfer.» Bernard Gros, À livre ouvert. «Le monde n'est qu'un malentendu entre la nécessité et la liberté, la logique et l'absurde, la mort et la vie. En sortant du monde, est ce qu'on peut trouver le bonheur, la paix ? Est-ce qu'on ne sombrera pas, en parvenant aux derniers rivages, au néant ?» Philippe Senart, Combat. «Fernand Combet dépasse, transgresse tous les modes d'écriture symbolique.» Georges Anex, Journal de Genève. «Issu d'une imagination que certains jugeront sans nul doute délirante, SchrummSchrumm paraîtra peut-être à quelques-uns extrêmement irritant. Pour nous, il s'agit du roman le plus original qu'il nous ait été donné de lire depuis longtemps.» Annette Colin-Simard, Le journal du dimanche.
Le 4 févr. 2022
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1966 • livre de Fernand Combet
Résumé : Publié il y a quarante ans par Jean-Jacques Pauvert, SchrummSchrumm, premier roman de Fernand Combet, fut, dès sa parution, salué comme un livre important. En témoignent quelques extraits de la critique en 1966 : «Combet a écrit un beau livre tranquillement féroce, où l'air devient irrespirable. Un livre important, aussi, dont on n'a pas fini d'épuiser les significations, les mines.» André Hardellet. «Fernand Combet s'inscrit dans la lignée où se comptent quelques-uns des écrivains les plus originaux de notre époque. Il fait songer à Kafka et à ses personnages prisonniers d'un système auquel on ne peut échapper.» Kléber Haedens, Candide. «Le tort de SchrummSchrumm, c'est de n'avoir pas abdiqué toute pensée. Dans un monde mécanique et magique, il a conservé un esprit logique : c'est un damné, dont Combet vient de décrire l'enfer.» Bernard Gros, À livre ouvert. «Le monde n'est qu'un malentendu entre la nécessité et la liberté, la logique et l'absurde, la mort et la vie. En sortant du monde, est ce qu'on peut trouver le bonheur, la paix ? Est-ce qu'on ne sombrera pas, en parvenant aux derniers rivages, au néant ?» Philippe Senart, Combat. «Fernand Combet dépasse, transgresse tous les modes d'écriture symbolique.» Georges Anex, Journal de Genève. «Issu d'une imagination que certains jugeront sans nul doute délirante, SchrummSchrumm paraîtra peut-être à quelques-uns extrêmement irritant. Pour nous, il s'agit du roman le plus original qu'il nous ait été donné de lire depuis longtemps.» Annette Colin-Simard, Le journal du dimanche.
Le 25 mai 2019
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1966 • livre de Fernand Combet
Résumé : Publié il y a quarante ans par Jean-Jacques Pauvert, SchrummSchrumm, premier roman de Fernand Combet, fut, dès sa parution, salué comme un livre important. En témoignent quelques extraits de la critique en 1966 : «Combet a écrit un beau livre tranquillement féroce, où l'air devient irrespirable. Un livre important, aussi, dont on n'a pas fini d'épuiser les significations, les mines.» André Hardellet. «Fernand Combet s'inscrit dans la lignée où se comptent quelques-uns des écrivains les plus originaux de notre époque. Il fait songer à Kafka et à ses personnages prisonniers d'un système auquel on ne peut échapper.» Kléber Haedens, Candide. «Le tort de SchrummSchrumm, c'est de n'avoir pas abdiqué toute pensée. Dans un monde mécanique et magique, il a conservé un esprit logique : c'est un damné, dont Combet vient de décrire l'enfer.» Bernard Gros, À livre ouvert. «Le monde n'est qu'un malentendu entre la nécessité et la liberté, la logique et l'absurde, la mort et la vie. En sortant du monde, est ce qu'on peut trouver le bonheur, la paix ? Est-ce qu'on ne sombrera pas, en parvenant aux derniers rivages, au néant ?» Philippe Senart, Combat. «Fernand Combet dépasse, transgresse tous les modes d'écriture symbolique.» Georges Anex, Journal de Genève. «Issu d'une imagination que certains jugeront sans nul doute délirante, SchrummSchrumm paraîtra peut-être à quelques-uns extrêmement irritant. Pour nous, il s'agit du roman le plus original qu'il nous ait été donné de lire depuis longtemps.» Annette Colin-Simard, Le journal du dimanche.
Le 10 mars 2019
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Le 14 oct. 2018
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Le 2 oct. 2018
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a écrit
sur le livre
, l'a recommandé et lui a attribué 10/10
1966 • livre de Fernand Combet
Résumé : Publié il y a quarante ans par Jean-Jacques Pauvert, SchrummSchrumm, premier roman de Fernand Combet, fut, dès sa parution, salué comme un livre important. En témoignent quelques extraits de la critique en 1966 : «Combet a écrit un beau livre tranquillement féroce, où l'air devient irrespirable. Un livre important, aussi, dont on n'a pas fini d'épuiser les significations, les mines.» André Hardellet. «Fernand Combet s'inscrit dans la lignée où se comptent quelques-uns des écrivains les plus originaux de notre époque. Il fait songer à Kafka et à ses personnages prisonniers d'un système auquel on ne peut échapper.» Kléber Haedens, Candide. «Le tort de SchrummSchrumm, c'est de n'avoir pas abdiqué toute pensée. Dans un monde mécanique et magique, il a conservé un esprit logique : c'est un damné, dont Combet vient de décrire l'enfer.» Bernard Gros, À livre ouvert. «Le monde n'est qu'un malentendu entre la nécessité et la liberté, la logique et l'absurde, la mort et la vie. En sortant du monde, est ce qu'on peut trouver le bonheur, la paix ? Est-ce qu'on ne sombrera pas, en parvenant aux derniers rivages, au néant ?» Philippe Senart, Combat. «Fernand Combet dépasse, transgresse tous les modes d'écriture symbolique.» Georges Anex, Journal de Genève. «Issu d'une imagination que certains jugeront sans nul doute délirante, SchrummSchrumm paraîtra peut-être à quelques-uns extrêmement irritant. Pour nous, il s'agit du roman le plus original qu'il nous ait été donné de lire depuis longtemps.» Annette Colin-Simard, Le journal du dimanche.