Incapable d'apprécier - ou de subir - ce livre dans ses aspects de "fable politique" selon les termes de la quatrième de couverture.
Je n'ai pu m'intéresser qu'à la manière, assez habile et perspicace, dont est traité le monde universitaire. L'Université, tellement à côté de la plaque et de sa fonction qu'elle risque, si ce n'est pas déjà fait, de se résumer à ses travers. L'Université qui risque de disparaître pour n'être plus qu'une communauté d'universitaires déconnectés de tout et particulièrement des sciences et de la transmission du savoir, là uniquement pour tirer leurs épingles du jeu, de tout le jeu, y compris sexuel et sexiste (pour une fois, la misogynie des écrits de Houellebecq résonne avec une certaine pertinence).