50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
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Il faut que je sois honnête. Quand j’ai commencé à lire St Margaret’s Road, le nouveau roman de Derek Munn, je lisais à reculons. Je n’y retrouvais pas la subtilité et la délicatesse qui caractérise l’écriture de cet auteur trop méconnu. J’ai donc lu d’autres livres pour chercher autre part une forme d’énergie, comme par exemple avec La Maison de la Faim et La divine forêt. Puis j’ai voulu reprendre confiance, sachant très bien que la traversée d’une œuvre est toujours subjective et se constitue avec le moment présent. J’étais ragaillardi par mes lectures précédentes et j’ai alors compris ce qui m’avait troublé dans St Margaret’s Road.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/11/24/st-margarets-road-derek-munn/
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le 24 nov. 2024
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